La première découverte concerne l'interprétation des 5 lignes écrites par Harriet à la fin de son calepin. Grâce aux archives du Groupe, Mickaël et Lisbeth découvrent que chacun des 8 meurtres a été perpétré dans une ville où le Groupe est implanté. Mieux : après quelques recherches, ils établissent que Gottfried, le père d’Harriet se trouvait presque systématiquement sur les sites en question dans les 2 ou 3 jours précédant ou suivant le crime. Seule exception: le crime commis en 1966 soit un an après sa mort.
Pour la deuxième découverte, Mickaël a l'idée d'aller fouiner dans les archives photos du journal local pour récupérer tous les négatifs des photos non publiées mais prises le jour de l'accident. Mickaël trouve une photo sur laquelle on distingue une silhouette à la fenêtre - ouverte - de la chambre d’Harriet. En recoupant l’ensemble des photos, Mickaël identifie la coiffure et les vêtements de Cécilia qui nie pourtant avoir mis les pieds dans la chambre d’Harriet ce jour là. Cette découverte le plonge dans le plus grand désarroi, une liaison s'étant amorcée entre Cécilia et lui.
Une autre série de photos sur lesquelles Harriet apparaît est intéressante: elles ont été prises pendant le défilé et montrent clairement l’expression d’Harriet passer de l’insouciance à la peur au moment où celle-ci semble fixer quelqu’un ou quelque-chose de l’autre côté de la rue, hors cadre. Coup de chance, sur la photo en question, un couple à proximité d’Harriet prend justement une photo en direction de ce que regarde Harriet ! Mickaël parvient à retrouver le couple en question grâce à leur véhicule (retrouvé sur une autre photo de l’archive) et grâce à leurs photos, repère l’homme qui a probablement effrayé Harriet : un homme d’1m80, vêtu d’une doudoune claire avec une bande supérieure rouge. La résolution de l’image est toutefois insuffisante pour identifier la personne.
A ce stade, Mickaël et Lisbeth en sont convaincus: Harriet a eu peur de cet homme pour une raison inconnue et a voulu prévenir Henrik, ce qu'elle n'a pu faire à cause de l'accident. L'homme s'en est alors probablement débarrassé pour la faire taire.
Pour connaître la solution de l'énigme, rendez-vous sur la page du dénouement.
